Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Expression et culture générale
Expression et culture générale
Archives
31 octobre 2007

Entraînement.

Sujet d'écriture personnelle proposé par le corpus de BTSA (sujet 2006) qui n'a pas été abordé en classe faute de temps :

Dire non à la société de croissance,
est-ce s'opposer au progrès social et humain ?

Tous les éléments de réponse que vous pouvez apporter, si le sujet vous inspire, sont les bienvenus...

Publicité
31 octobre 2007

Bulletin officiel.

                                                                                                           
Enseignement supérieur, recherche et technologie  
                             
         

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR
Thèmes concernant l’enseignement de “culture générale et expression” en deuxième année de BTS
NOR : MENS0701020N
RLR : 544-4a
  NOTE DE SERVICE N°2007-094 DU 19-4-2007
      
             MEN
DGES B2-2

            
         
         


Texte adressé aux rectrices et recteurs d’académie ; aux vice-recteurs ; aux inspectrices et inspecteurs d’académie, directrices et directeurs des services départementaux de l’éducation nationale ; au directeur du service interacadémique des examens et concours ; au directeur du CNED ; aux chefs d’établissements


         

L’arrêté du 16 novembre 2006 relatif aux objectifs, contenus de l’enseignement et référentiel des capacités du domaine de la culture générale et expression pour le brevet de technicien supérieur paru au Journal officiel de la République française le 29 novembre 2006, prévoit que deux thèmes sont étudiés en deuxième année de BTS.
L’intitulé, la problématique et les indications  bibliographiques de chacun de ces deux thèmes sont présentés en annexe.

Pour le ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche
et par délégation,
L’adjoint au directeur général de l’enseignement supérieur
Jean-Pierre KOROLITSKI

Annexe

         

THÈMES

Thème n° 1 : Risque et progrès

Problématique

Sur le plan individuel comme sur le plan collectif, il n’y a pas de progrès sans risque. Tout progrès suppose un saut vers le nouveau, l’inconnu, le passage d’un état stable et connu à un nouvel état par une situation momentanément perturbée.
Sur le plan individuel, progresser, c’est oser choisir : on évolue dans sa vie professionnelle, on s’engage affectivement dans sa vie personnelle, on assume des choix politiques, éthiques, etc. Le risque existe, là encore : peut-être vaudrait-il mieux ne pas choisir, ne pas prendre de risque, s’en tenir à ce que l’on est et à ce que l’on sait, plutôt que de progresser ?
Le progrès justifie-t-il que l’on mette autrui et soi-même en danger ? N’est-ce pas de la responsabilité de celui qui innove de gérer le risque, de penser en même temps progrès, sécurité, contrôle, évaluation ?
Sur le plan collectif, la science ouvre des perspectives à de nouveaux développements, par exemple dans les domaines de la génétique, de l’espace, de l’énergie, de l’informatique, etc. Dans le domaine politique, les sociétés d’aujourd’hui ne sont pas gouvernées comme l’étaient celles d’hier ; on met en œuvre chaque jour des changements d’organisation : démocratisation, fédéralisme, mondialisation, etc. Chacun est à même, dans sa vie quotidienne, de mesurer également les progrès réalisés dans l’habitat, l’urbanisme, l’environnement culturel et artistique. Mais le progrès peut aussi générer des dangers : utilisation néfaste de la science, destruction, anarchie, crise sociale ...
Vaudrait-il mieux alors, par crainte du risque, s’abstenir de tourner ses pensées vers l’inconnu ?
Le risque est-il inhérent à toute situation exigeant une prise de décision ? N’est-ce pas le propre de l’homme d’exercer sa liberté en assumant cette mise en danger ?

         

Indications bibliographiques

         

Ces indications ne constituent en aucun cas un programme de lectures. Elles constituent des pistes et des suggestions pour permettre à chaque enseignant de s’orienter dans la réflexion sur le thème et d’élaborer son projet pédagogique.

         

Littérature

         

P. Auster, “La musique du hasard”
H. de Balzac, “La Peau de Chagrin”, “La  Recherche de l’Absolu”
T.C. Boyle, “America”
B. Cendrars, “L’Or”, “À l’aventure”
P. Corneille, “Cinna”
Chrétien de Troyes, “Yvain le chevalier au lion”
F. Dostoïevski, “Le Joueur”
R. Emmerich, “Le jour d’après”
Frison-Roche, “Premier de cordée”
A. Gide, “Les Caves du Vatican,” le livre V (Lafcadio)
W. Goethe, “Faust”
J. de Léry, “Histoire d’un voyage en terre du Brésil”
P. Ponson du Terrail, “Rocambole”
M. Shelley : “Frankenstein ou le Prométhée moderne”
D. Simmons, “Ilium”
R.L. Stevenson, “L’étrange Cas du docteur  Jekyll et Mr Hyde”
E. Zola, “Au Bonheur des Dames”

         

Essais

         

M. Callon, P. Lascoumes, Y. Barthe, “Agir dans un monde incertain. Essai sur la démo cratie technique”. Seuil, collection “la couleur des idées”, 2001
J. Favier, “Les grandes découvertes”, le Livre de poche, 1991
Albert Jacquard : “Au péril de la science”, Seuil 1982
P. Kourilsky et G. Viney, “Le principe de précaution”, Rapport au premier ministre, Odile Jacob et la Documentation française, 2000
Cl. Levi-Strauss, “Race et histoire”, chapitre 5, “L’idée de progrès”, chapitre 10 : “Le double sens du progrès”
P. Virilio, “L’Accident originel”, Galilée 2005
M. Vaquin (sous la direction de) “La responsabilité. La condition de notre humanité”,  Autrement 2002
“Traité des nouveaux risques” collectif, Folio essai, 2002

         

Films, bandes dessinées, documents iconographiques

         

W. Allen, “Matchpoint”
I - Bergman, “Le septième sceau”
Y. Boisset, “Le prix du danger”, d’après la  nouvelle de R. Sheckley (même titre)
C. Chaplin, “Les temps modernes”
E. Chatiliez, “Tanguy”
Costa-Gavras, “Z”
C. Eastwood, “Million dollar baby”
P.M. Glaser, “Running man”, d’après le roman de S. King
W. Herzog, “Aguirre, la colère de Dieu”
P. Jackson, “Le Seigneur des anneaux”, d’après le roman de Tolkien
N. Ray, “La Fureur de vivre”
H. Sauper, “Le cauchemar de Darwin”

         

Sites

         

http://www.education.gouv.fr/actu/assisinn/DATA/TABLE1.HTM : compte-rendu des  assises de l’innovation, table ronde : “La culture de l’innovation et du risque”
 http://www.prim.net/citoyen/definition_risque_majeur/definition.html : annuaire du risque  majeur
 http://portaildurisque.iut.u-bordeaux1.fr/artrisque/art.htm : le risque dans l’art, l’art du risque (peinture, littérature, philosophie...)  portail de l’université de Bordeaux.

         

Mots clés

         

Risque, hasard, incertitude, jeu, choix, probabilités
Destin, fatalité, déterminisme, liberté, responsabilité
Danger, insécurité, instabilité, accident, crise, problème
Prévision, précaution (principe de précaution), prévention, dissuasion, prévoyance
Innovation, aventure, audace, défi, initiative, esprit d’entreprise, projet, stratégie

Thème n° 2 : faire voir : quoi ? Comment ? Pour quoi ?

Problématique

La question du spectacle et du spectaculaire s’impose à qui réfléchit sur notre société contemporaine.
Elle est d’autant plus importante qu’elle touche aussi bien au domaine de l’intime, du privé, qu’aux sphères ayant plus naturellement vocation à la “publicité”, au fait d’être rendues publiques : monde des vedettes et des “stars”, monde de l’industrie qui a besoin de la publicité pour que le consommateur accède à la connaissance des produits qu’elle met sur le marché, mais aussi monde politique dont les “représentants” doivent accéder aux différents médias pour exister.
Qui fait voir ?
Il s’agit d’abord de s’interroger sur la source des images et des spectacles qui nous environnent. De façon traditionnelle, ce sont les observateurs privilégiés que sont les artistes et les intellectuels (écrivains, peintres, photographes...) qui font voir, qui pointent du doigt les caractéristiques d’une société en train d’évoluer. Mais l’image est aujourd’hui très généralement utilisée, aussi bien par les professionnels de la communication, par les acteurs du monde politique, que par le simple individu, qui est lui-même à la source de nombreuses images mises en circulation.
Comment ?
Nos sociétés contemporaines ont vu se multiplier les moyens de donner à voir des images : aux moyens traditionnels (description, théâtre, peinture, photographie, cinéma, télévision...) sont venus s’adjoindre des moyens nouveaux suscités par les progrès techniques (internet et webcam, téléphones portables munis de caméras numériques, jeux vidéos avec avatars...). Cette facilité d’accès à l’image semble la banaliser, la rendre anodine, quasi évidente.
Quoi ?
Ainsi, il semble qu’on puisse tout faire voir, au risque de tout placer sur le même plan : l’événement majeur de l’Histoire contemporaine, comme l’épisode insignifiant de l’histoire personnelle ; le moment intense et spectaculaire qui marque une génération, comme le secret le plus intime. Tout semble ainsi nivelé, uniformisé par l’image.
Pour quoi ?
Nombreuses sont les finalités de l’image dont l’efficacité ne fait aucun doute : informer et aider à comprendre ; communiquer une émotion, faire communier dans l’émotion d’un spectacle qui est parfois nationalement, mondialement retransmis ; divertir, détourner du réel ; stimuler la curiosité, voire le voyeurisme des spectateurs ; provoquer des réactions : influencer, dénoncer pour faire agir, ou à l’inverse, impressionner pour terroriser, pour désagréger une société sidérée ; rendre cyniquement passifs des spectateurs aliénés qui vivent par procuration ce qu’on leur donne à voir, ou donner à ceux qu’on ne voit pas le moyen d’être visibles, audibles, d’acquérir une importance qu’on leur déniait.
Faut-il craindre l’abondance des images ? Fait-elle courir un risque à la vie politique ou concourt-elle à plus de démocratie ? Doit-on traiter de la même façon sur le plan télévisuel la vedette de cinéma, l’artiste de variété, le sportif, l’homme politique ? Faut-il s’offusquer que tout devienne prétexte à diffuser des images ? Quels rapports à la réalité entretiennent les émissions de télé réalité, et les images diffusées sur le net ? Faut-il craindre le pouvoir des images sur les individus ou se réjouir de leur pouvoir à faire partager, à faire agir ?

         

Indications bibliographiques

         

Ces indications ne constituent en aucun cas un programme de lectures. Elles constituent des pistes et des suggestions pour permettre à chaque enseignant de s’orienter dans la réflexion sur le thème et d’élaborer son projet pédagogique.

         

Littérature : Pour une mise en perspective sur la façon dont une société se donne en spectacle

         

Balzac : extraits d’“Illusions perdues” (société et mise en scène de soi) : Première partie, la soirée de lecture chez Mme de Bargeton, deuxième partie, la soirée à l’opéra
Larry Beinhart, “Reality show”
Genet, Le Balcon, “Elle”
La Bruyère : extraits des “Caractères”
Mme de La Fayette : extraits de “La Princesse de Clèves” (la cour comme lieu de mise en  scène de soi)
La Fontaine, “Fables”
La Rochefoucauld, “Maximes”
Barry Levinson, “Des hommes d’influence”
Molière : “Le Misanthrope”, “Le Bourgeois Gentilhomme”
Montesquieu, “Lettres persanes”
Amélie Nothomb, “Acide sulfurique”
Jean-Jacques Schuhl, “Ingrid Caven”
Villiers de l’Isle Adam, “L’Affichage céleste”  (société de la publicité et du “puff” )
Essais
Roland Barthes, “Mythologies”, 1957
Pierre Bourdieu, “Sur la télévision” (1996)
Guy Debord, “La société du spectacle” (texte et dvd) (1967 et 1973
Grégory Derville, “Le pouvoir des médias,  mythes et réalités”, 1997
Laurent Gervereau (direction), “Dictionnaire mondial des images”, Éditions Nouveau Monde, 2006
Ernst Kantorowicz, “Les deux corps du Roi”, 1957 (extraits).
Michel Meyer, “Le Livre noir de la télévision” (2006)
Edgar Morin, “Les Stars”, 1972
Olivier Razac, “L’écran et le zoo” (2002)
Andy Warhol, “Entretiens” 1962-1987
Dominique Wolton, “Éloge du grand public” (1990)

         

Films, documents iconographiques, bandes dessinées

         

“Le Cauchemar de Darwin”, Hubert Sauper, 2005
“Celebrity”, Woody Allen, 1999
“Fahrenheit 9/11”, Michael Moore, 2004
“Ginger et Fred”, Fellini, 1986
“Good bye Lenin !”, Wolfgang Becker, 2004
“Network,” Sidney Lumet, 1976
“The Queen”, Stephen Frears, 2006
“The Truman Show”, Peter Weir, 1998
Jacques Tardi et Daniel Pennac, “La débauche”, (2000)
Robert Doisneau, par exemple “Mes Parisiens”, Nathan, coll. “Photo Poche-Société”, 1997
Photojournalisme : numéros spéciaux annuels publiés par “Reporter sans frontières”
Christo, Emballage du Pont-Neuf (1975) ;  emballage du Reichstag (1995)
Philippe Decoufle, Cérémonie d’ouverture et de clôture des XVIèmes Jeux Olympiques  d’hiver d’Alberville (1992)
Jean-Paul Goude, “Bleu Blanc Goude” : parade à l’occasion du 14 juillet 1989

         

Sites internet

         

www.dauphin-affichage.com : site du groupe Dauphin.
www.jcdecaux.com et www.avenir.fr : sites du groupe JC Decaux, numéro un mondial du  mobilier urbain.
www.publicis.fr : site du groupe Publicis.
www.bvp.org : site du Bureau de Vérification de la Publicité (BVP).
www.publivores.com : site de la Nuit des  publivores.
www.museedelapub.org : site du Musée de la publicité. Collections, expositions, archives, chronique de la publicité depuis 1750.
Sites des agences de journalisme SIPA,  Gamma, SYGMA...
Conférences en lignes sur UTLS (Université de tous les savoirs) : www.canalu.fr
Jean-François Abramatic, Croissance et évolution de l’internet
Mercedes Erra, L’image publicitaire
Olivier Faugeras, Le traitement des images
Peter Humi, Mondialisation et information
François Jost, Cinéma, Télévision : entre réalité et fiction
Jean-François Leroy, Le photojournalisme
Daniel Schneidermann, L’image télévisuelle
Serge Tisseron, Propagande, publicité, information et désinformation
Martin Winckler, Les séries TV et le soap  opera

         

Mots clés 

         

Spectacle, spectaculaire, focalisation, point de vue, mise en scène
Documentaire, fiction, docu-drama, télé-réalité
Publicité, afficheur, agence de publicité,  marchandisation
Internet, site
Information-désinformation, éthique, déontologie, objectivité, politique-fiction
Exhibition, voyeurisme, (sur)médiatisation
Starisation, star-système, vedettariat, paparazzi, people
Simulacre, simulation

                      

28 octobre 2007

Gonfler sa culture générale.

Tout d'abord, qu'appelle-t-on culture générale ? Rien à voir avec votre QI, il s'agit plutôt de toutes vos connaissances concernant le monde qui vous entoure, tous domaines confondus. On s'imagine souvent que la culture générale se restreint à des domaines considérés comme nobles : littérature, musique, histoire... Voire à ce que l'on va vous apprendre entre les quatre murs d'une salle de classe. Mais c'est bien plus vaste. Elle touche à tous les domaines. Malraux disait "la culture générale c'est ce qui reste quand on a tout oublié", Heriot pensait lui que "la culture, c'est comme la confiture, moins on en a plus on l'étale", alors, comment en avoir plus, histoire de se faire de bonnes tartines ?

  • SORTEZ, SOYEZ CURIEUX : restez ouverts à toutes sortes de connaissances et ne pas se fermer sur un domaine de prédilection, un centre d'intérêt. Tournez vous vers des sources nouvelles, inhabituelles, osez aller vers la découverte, ce ne sera jamais une perte de temps, tout au plus, si cela devait vous déplaire vous sauriez au moins dire pourquoi. Vous devez devenir une éponge qui réfléchit. Essayez toujours d'établir des liens entre ce que vous découvrez et ce que vous connaissez déjà, pour créer une espèce d'arborescence de connaissances.
  • GARDEZ UN OEIL OUVERT:  les journaux sont des sources de connaissances inépuisables si l'on sait bien les lire, les confronter et ne pas se contenter d'une seule source d'information. Internet également est un puits de culture, mais là aussi, il faut savoir se montrer prudent face à ce flot d'information, pas toujours vérifiée.
  • UNE OREILLE TENDUE en permanence : la radio, la télévision avec là aussi, une seule règle : faire le tri et ne pas laisser son cerveau sur la table du salon quand on se pose dans son canapé.
  • DÉVELOPPEZ UN ESPRIT CRITIQUE : essayez d'avoir un avis sur une situation et pour cela, il faut la comprendre. Essayez d'aller au bout d'un mécanisme, de décortiquer un événement. Ne pas se contenter des bases, de ce qu'on veut bien nous faire savoir.

Histoire au moins de ne pas finir comme ça...


Maillon faible en france culture general
envoyé par Chenda-cambodia


Etats-Unis debiles
envoyé par morganss

28 octobre 2007

99 francs.

Au cinéma en ce moment, un film avec l'excellent Jean Dujardin, adaptation du livre de Frederic Beigbeder, 99 francs...

En thème central la publicité, que nous traiterons en détail au deuxième semestre...

 

Bande annonce 99 Francs
envoyé par bdelphiki

27 octobre 2007

Pour s'améliorer.

Du nouveau dans la colonne de droite :
des liens vers toutes sortes de dictionnaires,
histoire d'avoir toujours le mot juste...

***
Et quelques liens pour vous évaluer,
culture générale et autres,
vite fait-bien fait.

Publicité
7 octobre 2007

Exposés.

L’objectif de l’exposé est de transmettre des informations sur un sujet précis à l’ensemble de la classe. Vous serez évalué sur vos capacités à vous exprimer devant un groupe. La classe doit avoir compris le message de votre exposé. La préparation de l'exposé se déroule en plusieurs étapes :

 

  1. Choisissez un sujet qui vous intéresse et que vous maîtrisez de façon à ne pas avoir trop de recherches à faire et à ne pas rencontrer de difficultés de compréhension. Si vous-même ne maîtrisez pas le sujet, vous ne pourrez pas faire passer l’information clairement. De plus, le choix n’est pas aléatoire, on doit pouvoir établir un lien évident avec l’un des thèmes au programme (ce lien devra être développé).
  2. Vous formulerez une problématique et sélectionnerez des supports (des articles, des documents iconographiques ou audiovisuels, des extraits de films dans la mesure où ils sont sélectionnés et où ils apportent quelque chose à votre travail, il ne s’agit pas de meubler votre temps de parole !) qui auront pour objectif de fournir des éléments en réponse à cette      problématique.
  3. Préparez votre exposé en plusieurs parties et présentez-les à la classe à l’aide d’un plan (que vous mettrez par exemple au tableau) de façon à ce que les étudiants puissent vous suivre dans votre raisonnement. Il est déconseillé de se contenter d’une énumération de ses idées.
  4. Évitez de lire la totalité de votre exposé, adressez vous à la classe en regardant chacun pour expliquer certains détails ou donner des anecdotes. Un exposé lu est trop difficile à suivre et à comprendre.
  5. Terminez votre travail en expliquant pourquoi avoir choisi ce sujet.
  6. Votre exposé devra durer environ 20 minutes et sera suivi de questions de la classe auxquelles vous êtes sensé pouvoir répondre.

N.B. : les structures que je propose ici ne sont que des supports, vous pouvez bien entendu, à partir de ces trames, faire preuve d’originalité dans votre présentation. Vous pouvez travailler  à deux si vous le souhaitez, mais attention, contrairement à l'idée reçue, cela ne facilitera pas forcément votre travail !

3 octobre 2007

Sujets d'examen.

Si vous souhaitez consulter des sujets d'examen
(annales ou sujets d'entrainement),
vous en trouverez facilement
en vous rendant sur les sites des différentes académies
(sites sur le français en BTS, colonne de droite).
Bonne lecture et au travail !

3 octobre 2007

Ateliers de soutien.

Vous êtes nombreux à admettre rencontrer des difficultés de méthodes, à connaître des lacunes en orthographe et en grammaire. J'ai déjà parlé plus tôt de l'intérêt des dictées que je compte tester dans certaines sections. Je tiens également à mettre en place pour ceux qui en ressentent le besoin des ateliers de soutien entre 13h00 et 13h30 sur certaines dates.

photo_prof

  • lundi 22 octobre
  • lundi 29 octobre
  • mercredi 31 octobre
  • mardi 6 novembre
  • mardi 13 novembre
  • vendredi 16 novembre
  • mardi 20 novembre
  • mercredi 28 novembre
  • mardi 4 décembre
  • jeudi 13 décembre
  • vendredi 14 décembre
  • mardi 18 décembre

Je ne donne pas pour le moment d'intitulés à ces différents ateliers. Il serait intéressant, si vous souhaitez y participer, de pouvoir lister vos difficultés (en fonction des annotations figurant sur vos copies, des remarques qui vous sont faites en classe par vos formateurs, de vos impressions...). Tous les points peuvent être revus dans ce contexte : homophones, accords des participes passés, règles de mise en page et de présentation, synthaxe, organisation du travail...

 

N.B. : vous trouverez à ce sujet de nombreux liens dans la colonne de droite, avec des propositions d'exercices qui peuvent vous aider à faire face à vos difficultés.

2 octobre 2007

Expo.

Jusqu'au 27 octobre se tient à la galerie la Boulangerie* à Mulhouse une superbe exposition intitulée "Premier regard" sur l'Inde, signée Fabrice Wittner. La galerie est à quelques centaines de mètres de votre centre de formation, faites un détour, c'est superbe !

Cachemire__54_

*162 bis avenue de Colmar, juste avant le musée de l'auto.

2 octobre 2007

Pub.

Depuis le 1er octobre, j'anime à l'ALEP à Colmar un atelier d'écriture : jeux sur les mots, leur sens et leur pouvoir, l'expression des sentiments, créations à quatre ou six mains, rédaction de nouvelles, de sketches, etc.

A partir du 9 octobre, j'anime à l'Université Populaire de Mulhouse un atelier d'improvisation théâtrale : jeux d'expression, relaxation, gestion des émotions, interprétation de textes, travail sur la musique, les images, etc.

Si ça vous intéresse, n'hésitez pas à m'en parler, les inscriptions sont toujours ouvertes.

Publicité
1 2 > >>
Expression et culture générale
  • Expression et culture générale en BTS. Contenu des cours de français (CGE) en BTS : les progressions, les séquences, les supports, les exposés, la méthodologie de la synthèse et de l'écriture personnelle...
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Publicité